(« Pour
l’amour de mon père
Ma mère, mes
frères et mes sœurs
Oh oh, ce
serait le bonheur »)
Prédication du 10 juin 2018,
temple
Port-Royal / Quartier latin (Paris 5 et 13)
Antoine Peillon SDG
Sur Marc 3,20-35
Marc 3, 20-35 (NBS)
Puis il revient à la maison, et la
foule se rassemble encore : ils ne pouvaient pas même manger.
A cette nouvelle, les gens de sa
parenté sortirent pour se saisir de lui, car ils disaient : Il a perdu la
raison.
Les scribes qui étaient descendus de
Jérusalem disaient : Il a Béelzéboul ; c’est par le prince des démons qu’il
chasse les démons !
Il les appela et se mit à leur dire,
en paraboles : Comment Satan peut-il chasser Satan ?
Si un royaume est divisé contre
lui-même, ce royaume ne peut tenir ; et si une maison est divisée contre
elle-même, cette maison ne peut tenir.
Si donc le Satan se dresse contre
lui-même, il est divisé et il ne peut tenir : c’en est fini de lui.
Personne ne peut entrer dans la maison
d’un homme fort et piller ses biens sans avoir d’abord lié cet homme fort ;
alors seulement il pillera sa maison.
Amen, je vous le dis, tout sera
pardonné aux fils des hommes, péchés et blasphèmes autant qu’ils en auront
proférés ; mais quiconque blasphème contre l’Esprit saint n’obtiendra jamais de
pardon : il est coupable d’un péché éternel.
C’est qu’ils disaient : Il a un esprit
impur.
Sa mère et ses frères arrivent ; se
tenant dehors, ils le firent appeler.
La foule était assise autour de lui et
on lui dit : Ta mère, tes frères et tes sœurs sont dehors, et ils te cherchent.
Il répond : Ma mère et mes frères, qui
est-ce ?
Puis, promenant ses regards sur ceux
qui étaient assis tout autour de lui, il dit : Voici ma mère et mes frères !
En effet, quiconque fait la volonté de
Dieu, celui-là est mon frère, ma sœur et ma mère.